Catégorie : COMMUNIQUÉS DpA

  • Que s’est-il passé lors de l’AG du 13 janvier du CROA-IdF ?

    Une conseillère DpA (toujours) en colère –

    Telle est la question qui taraude bon nombre d’architectes que je vois d’ici se morfondre de n’avoir pu s’y rendre.
    Sans vouloir casser le suspense, je les rassure tout de suite : il ne s’est rien passé.
    Si ce n’est la lecture du long message du président du Croaif « l’architecture est une idée neuve ». S’est ensuite engagé un échange convenu entre des Présidents d’ordres de quelques régions capitales… Voilà, tout est dit, rien à signaler, circulez il n’y a rien à voir.
    Loin de moi l’idée qu’il est inutile d’organiser des débats avec les architectes européens, au contraire, la crise ne sévit pas qu’en France. Toutefois, après le bilan d’activité de l’ordre, on avait peut-être envie de parler de nos petits soucis franco-français avant de débattre et comparer la situation à l’étranger. (suite…)

  • Adresse au président du CROAIF

    Le bureau de DpA – Paris, le 22 décembre 2010

    Cher Président,

    La presse se fait l’écho d’un sondage commandé par le Cnoa dont les résultats seraient extrêmement alarmants pour notre profession, sans qu’on en connaisse d’ailleurs exactement les chiffres :

    • La disparition des petites agences s’accélèrerait depuis dix mois
    • Les revenus baissent ainsi que les chiffres d’affaires moyen par agence, l’embellie apparente de celui-ci n’étant due qu’à la diminution du nombre d’agences
    • La chute des commandes tant publiques que privées s’est fortement accentuée, tandis que ce qu’il en reste est de plus en plus confisqué aux architectes au profit de contrats de partenariat (PPP et CPE).

    Dans cette situation, qui appelle les mesures d’urgences que l’Ordre devrait réclamer des pouvoirs publics, c’est avec un certain étonnement que nous lisons et entendons dire ici et là :

    (suite…)

  • 5 élus au CROAIF, pourquoi faire ?

    Paris le 21/10/10

    Edith GIRARD,  Sylvie BOULANGER,  Emilie BARTOLO , Olivier de CERTEAU,  Jacques HESTERS : 5 élus sur 12, pour quoi faire ?

    DpA ne peut que se féliciter du succès de sa liste aux élections à l’Ordre, qui annonce une nouvelle période pour le Croaif.
    Le Président de « Mouvement » s’est inquiété du risque que ferait courir à l’institution la présence d’élus de DpA. Qu’il se rassure, ces derniers n’ont pas l’intention de se cantonner  dans une agitation de «slogans à la petite semaine électorale», comme l’écrit une jeune consœur dans un mail à « Mouvement » et demande «qu’on puisse enfin voir des échanges de point de vue et peut-être enfin des arguments et des analyses rédigés en bonne et due forme». Ce travail, comme la participation aux commissions, le suivi des relations avec le Cnoa, tout ce qu’un architecte est en droit d’attendre d’un Ordre, les élus de DpA le conduiront dans le respect de la plate-forme qu’ils se sont engagés à défendre auprès de leurs électeurs. (suite…)

  • Retour au barème ?

    30% des agences d’architecture en redressement judiciaire ou devant théoriquement en relever, informe le président de l’Unsfa dans le Moniteur du 12 février 2010.
    En cause, le dumping suicidaire auquel se livreraient de nombreux architectes.
    En cause, certains maîtres d’ouvrages institutionnels qui  profiteraient de cette situation pour accepter des rabais d’honoraires allant jusqu’à 50%.
    Est-ce aussi simple ?

    Depuis longtemps DpA dénonce une situation qui s’aggrave dangereusement dans un contexte de crise économique.
    Depuis longtemps DpA dénonce une situation dans laquelle la suppression progressive de toute notion de barème avait déjà provoqué une baisse généralisée des honoraires, baisse aujourd’hui accentuée par celle des montants de travaux servant d’assiette au calcul des rémunérations de maîtrise d’œuvre. (suite…)

  • Eurocompatibles ?

    compte-rendu du débat organisé par le CROAIF sur la directive services (8 déc. 2009)

    Le 8 décembre dernier, devant une salle comble, le Croaif organisait un important débat sur la Directive Services. A la tribune, à laquelle participait DpA, l’unanimité était acquise contre les  dangers que la transposition de cette Directive fait courir aux architectes. On ne peut qu’être surpris de certaines conclusions comme celle du Cnoa qui déclare « oui à la transposition pourvu qu’elle garantisse l’indépendance des architectes » comme si ces deux termes n’étaient pas antinomiques. Alors que pour la première fois l’ensemble des organisations, syndicats, associations se retrouvaient derrière la même tribune, l’occasion ne nous était-elle pas donnée de mobiliser une profession qui n’en peut plus et n’aspire qu’à la résistance ? (suite…)

  • « la profession est aux abois »

    « La profession est aux abois », ne craint pas d’affirmer le patron d’une des plus grosses agences françaises au journal Le Monde du 2 novembre 2009 qui pour la première fois, dans un article qui fera date et circule largement, lève un coin du voile sur ce qu’on ne peut plus continuer à masquer et titre « les petites agences d’architecture sont menacées».

    Pourquoi ce constat aujourd’hui, lorsque chacun sait que ce mouvement qui s’accélère avec la crise est cependant engagé depuis longtemps que ce soit avec les réformes successives de déréglementation de la profession, en premier lieu l’abandon d’un barème, ou la diminution progressive de la commande publique, en particulier dans le logement social avec l’abandon de « l’aide à la pierre ». Serait-ce parce qu’on arrive au bout de ces réformes avec l’instauration récente des contrats de partenariats auxquels il ne manquait que la Directive Services pour permettre l’intégration au processus de quelques agences, au prix de la perte de leur indépendance.S’agit-il de convaincre le reste, c’est-à-dire la quasi-totalité des architectes de la nécessité de « s’adapter » à la situation qui en résulte, au nom du « réalisme » ? (suite…)

  • La crise ? Mais que propose l’Ordre d’Ile-de-France ?

    Tout le monde le ressent, la profession vit des heures graves.
    Les rumeurs de fermetures d’agences, de licenciements,  sans qu’il soit possible d’en vérifier toute l’étendue, développent un climat où chacun se demande qui a encore du travail, et pour combien de temps.
    Le jeune diplômé à la recherche d’un emploi salarié pour obtenir son HMO ne comprend pas qu’on le détourne délibérément de ce pourquoi il est rentré dans une école d’architecture. (suite…)

archi.dpa@gmail.com
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