Catégorie : CROAIF

  • Interview D’A : la liste Défense profession Architecte (DpA) prend la parole

    INVITATION À DÉBATTRE

    Pour rappel, DpA vous invite à débattre lors d’une visioconférence le vendredi 5 mars à 19h : https://us02web.zoom.us/j/84618377371?pwd=QkJ1WG9aVFZ1OG9Sck5taU1KTERnQT09
    ID de réunion : 846 1837 7371 – Code secret : 509557

    Bonne lecture de l’interview ci-dessous !
    L’interview originale est disponible ici : https://www.darchitectures.com/


    INTERVIEW D’A (Repost)

    Le second tour des élections ordinales va prendre fin le 8 mars 2021. Pour faire suite à l’entretien mené avec la liste Mouvement des Architectes publié dans le but de mobiliser l’électorat, nous donnons la parole à la liste Défense profession Architecte qui se présente également au Conseil régional de l’Ordre des architectes d’Île-de-France. La discussion a été menée avec Vanessa Fernandez, Marie-Jeanne Jouveau et Jean-François Parent candidats aux élections ordinales en IDF lors du second tour et avec Émilie Bartolo, actuelle représente de l’Ordre régional sur cette même liste.

    D’a : Quels sont les enjeux de ces élections ordinales 2021?

    Vanessa Fernandez : Il me semble que nous assistons à un changement de paradigme. La profession, sous sa forme individualiste, arrive à un certain constat d’échec après avoir été malmenée par les acteurs de la construction. Il y a une prise de conscience amenant un changement dans la profession et dans son système représentatif. Il y a beaucoup de confusion autour de l’accès à l’Ordre des architectes. Beaucoup ne se sentent pas représentés, ce qui peut expliquer la faible participation aux élections ordinales dans la région. L’institution s’adresse apparemment à une certaine catégorie de maîtres d’œuvre. La représentativité d’une pratique quotidienne, plus ordinaire mais néanmoins indispensable, n’est pas assez considérée. Elle concerne pourtant une grande partie de confrères, qui peuvent se sentir oubliés des débats. Il faut recentrer le débat sur des questions concrètes liées aux territoires. La région Île-de-France tend à oublier la condition suburbaine et le rôle des architectes dans la préservation d’un cadre de vie qualitatif, au-delà des limites de Paris. Une représentativité équitable de nos territoires doit être respectée dans les institutions et dans les discussions y prenant place. Cela ne veut pas dire qu’il faut écarter les débats nationaux, au contraire, mais aussi voir comment ils se traduisent sur le terrain, au quotidien.

    Marie-Jeanne Jouveau : Nous sommes en train de perdre la maîtrise d’œuvre d’exécution, et avec elle nous allons voir disparaître les phases PRO/DCE. Nous ne serons plus capables de tenir la qualité de l’œuvre architecturale, d’autant plus que cette perte de missions s’accompagne dans de nombreux contrats d’une suppression de la propriété intellectuelle. Le plus inquiétant, c’est que cela fragilise la loi sur l’architecture de 1977. C’est dommageable, pour les architectes, pour l’intérêt général, et donc pour les maîtrises d’ouvrage également, qui ont tout à y perdre, mais qui, par méconnaissance du rôle de l’architecte, pensent qu’il est responsable de leurs problèmes.

    D’a : Comment expliquez-vous cette faible mobilisation lors du premier tour des élections ordinales ?

    Jean-François Parent : La mobilisation ne se réduit pas au seul moment des élections. Elle doit être quotidienne chez les architectes. Ce n’est pas le cas aujourd’hui et on l’a vu hier par exemple avec la loi ELAN contre laquelle il nous a été difficile de nous mobiliser alors que nous en mesurions les effets négatifs pour tous et en particulier pour notre profession. Les élections permettent de rappeler l’importance de cet engagement collectif pour une profession qui souffre. Cependant, l’isolement – souvent produit d’une forme d’individualisme, la représentation que l’on se fait de l’architecte (chez les architectes comme dans le « grand public ») –, sont des sujets que nous devons aborder plus profondément. Ce n’est pas le cas aujourd’hui dans les instances représentatives. C’est pourquoi, nous souhaitons travailler avec l’ensemble des élus, les architectes et les jeunes en formation à un Ordre qui réponde à ces attentes et aux nouvelles exigences de notre métier dans sa diversité. Le faible engagement, 16 % de votants dans la région, qui rassemble un tiers des architectes, c’est catastrophique ! Cela doit interroger nos organisations représentatives. Une réflexion de fond doit être menée sur et avec l’Ordre comme outil institutionnel, pour mieux nous situer et nous affirmer dans la société. Comment être impliqué, comment s’engager, comment s’épanouir, si nous ne sommes pas pleinement inscrits dans notre environnement social ? C’est à l’Ordre de nous aider à dynamiser cette implication.

    D’a : Y a-t-il une nécessité de re-légitimer la parole de l’Ordre ? Comment imaginez-vous l’Ordre au travers de votre liste ?

    Jean François Parent : Il n’y a pas à re-légitimer une parole mais plutôt à renforcer sa légitimité. L’ensemble des organisations existantes doivent être en première ligne. Il en va de l’intérêt de la profession mais plus largement de l’intérêt collectif pour l’amélioration et la transformation du cadre bâti. La légitimation de l’action doit primer, d’où l’importance à ce que les architectes fassent corps, afin d’être au cœur des préoccupations actuelles. On peut distinguer trois niveaux dans l’action de la profession et de ses institutions : le national (voire l’international), le régional et le local, c’est-à-dire le territoire où nous travaillons et développons notre pratique quotidienne dans sa diversité. De notre point de vue, il s’agit aujourd’hui, par une vision transversale, de mieux articuler ces trois niveaux d’actions dans une double dialectique où chaque « instance » à ses prérogatives mais où le Conseil régional joue un rôle moteur de la dynamique professionnelle. Le Conseil national de l’Ordre des architectes est l’interlocuteur privilégié de l’État et il faut renforcer sa position vis-à-vis des institutions. Le Conseil régional – enjeu de ces élections et pour lequel nous nous sommes engagés dans cette campagne – peut être le lieu privilégié de cette articulation dynamique. Lieu de la réflexion, de la confrontation, de l’expérimentation en lien avec les territoires pour l’affirmation de la profession. Notre profession mute, et il faut que ceux qui nous représentent (l’Ordre mais également les syndicats) puissent se transformer et correspondre au mieux aux nouvelles problématiques émergeantes.

    Émilie Bartolo : Le respect de la rémunération est également un sujet au cœur de notre action. L’amende de la haute autorité de la concurrence auprès de l’Ordre national des architectes il y a deux ans aurait été l’occasion d’ouvrir le débat au sein de la profession. Nous demandons les moyens de pouvoir faire une architecture qualitative et cela passe par un salaire décent. Un système de barème plancher permettrait de reprendre la main collectivement sur un une concurrence creusant les disparités d’honoraires. L’Ordre des architectes allemand, appuyé par le Gouvernement fédéral, a tenté de conserver son barème d’honoraire. Si la bataille a été perdue, elle a eu le mérite d’être menée et ça n’est pas le cas en France ! N’est-il pas temps d’ouvrir une large mobilisation pour une juste rémunération ? L’Ordre des architectes est l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, il a le pouvoir de mettre le sujet sur la table. Il est nécessaire d’inverser la tendance et de mettre en avant les sujets que la liste DpA défend, pour cela il faut faire corps et porter nos valeurs collectivement devant nos interlocuteurs.

    D’a : Allez-vous vous inscrire dans une continuité ou bien renouveler le débat au sein du conseil régional ?

    Émilie Bartolo : La stratégie a toujours été la même : travailler sur les sujets, réagir lorsque c’est nécessaire. Au-delà d’une participation aux missions régaliennes, l’objectif est d’être présent à l’ensemble des réunions officielles du conseil régional de l’Ordre. Nous portons la position de DpA en essayant d’obtenir du CROAIF des infléchissements, des prises de positions publiques. Il y a également une mission de lien entre l’Ordre et les acteurs qui n’y sont pas. L’intérêt pour une association comme DpA d’être à l’Ordre, c’est d’obtenir des informations afin de pouvoir les partager aux confrères. Sur des sujets important comme la loi ELAN, ça a permis de faire le lien entre les institutions et les débats prenant place. Bien que nous ne puissions pas agir sur le processus de l’exécutif de l’Ordre, cette transmission est cruciale. C’est un moyen de faire vivre l’institution pour que les architectes se saisissent de celle-ci.

    Jean François Parent : Les 16 % de votants nous montrent une défiance des architectes vis-à-vis l’Ordre, particulièrement en Île-de-France où jamais n’a été « atteinte » une participation aussi faible. Il est donc impératif de s’interroger, dans un esprit confraternel mais engagé, sur les raisons de cette situation. Situation révélatrice et à dépasser. Notre profession est déjà partiellement marginalisée dans la société mais surtout dans les lieux et aux seins des organismes où se décide, se dessine l’avenir de nos territoires, de nos villes, de nos lieux de vie. Si « continuités » il doit y avoir, c’est donc bien avec l’extérieur qu’elles sont à travailler et développer. Il semble en effet urgent d’œuvrer collectivement à la création de relations fortes avec notre environnement (au sens large) pour valoriser un métier que nous apprécions tous malgré les difficultés. Ce qui invite, de notre point de vue, à un certain nombre de ruptures « politiques » et, pour le moins, à des clarifications et changements dans la vie ordinale. Nous voulons donc être à la fois un stimulant au sein de notre institution comme pour la profession pour engager cet indispensable débat.

    D’a : Quel message l’Ordre peut-il adresser aux jeunes architectes ou aux architectes diplômés d’État qui ne sentent pas concernés ?

    Marie-Jeanne Jouveau : Notre formation manque de bienveillance, c’est une formation violente, qui favorise l’individualisme de notre profession. La variété de métiers auxquels nous pouvons accéder est riche et ne se limite pas à la maîtrise d’œuvre, cela doit être valorisé et encouragé pendant la formation. C’est même très important que des architectes soient présents dans toute la chaîne de l’acte de bâtir, en amont du projet, là où se prennent les décisions et où se construit la ville. Il faut au moins 10 ans pour former un architecte. Une partie de cette formation se fait à l’école, et que cette partie soit plus théorique n’est pas un problème. Une autre partie se fait en agence, et nos agences doivent accepter le rôle de formation dont notre profession a besoin. On voit beaucoup d’annonces de recrutement pour de jeunes architectes avec déjà 2 ou 3 ans d’expérience, où on leur demande d’être autonome, d’avoir fait du chantier et de maîtriser un logiciel parfaitement, ce qui n’est pas possible. Accueillir un jeune architecte dans son agence c’est accepter de le former.

    Vanessa Fernandez : Le monde concurrentiel ne semble plus être un modèle auquel adhèrent les étudiants aujourd’hui. Ils comprennent que cela leur nuit fondamentalement. D’autant plus qu’ils sont persuadés que le collectif a un rôle majeur à jouer. La mentalité a évolué et est différente : l’idée que l’architecte veuille absolument apposer sa signature semble désuet. Il s’agit plutôt d’agir socialement en valorisant les savoir-faire de tous les architectes dans leur diversité.  Notre liste veut intégrer les ADE dans les débats menés dans cette instance représentative qu’est l’Ordre. Le système de doubles-diplômes hiérarchisés (ADE et HMONP) entretient cette mise à l’écart d’une partie de la profession qui ne se sent pas légitime d’être représentée, alors que nous partageons diplômes et compétences.

    D’a : Quels thématiques la crise a-t-elle permis de mettre en avant dans ces revendications portées pour ces élections du CROAIF ?

    Vanessa Fernandez : Il y a un parallèle entre la crise sanitaire, la crise de représentation des médecins, et notre profession. L’écart entre ceux qui participent aux institutions en prenant part aux grandes directives et ceux qui sont sur le terrain et observent des décalages entre les prises de décisions et la réalité du terrain se creuse. Il faut inverser ce schéma où l’institution dit au praticien exerçant sur le terrain comment faire. Il en va de même pour le monde de l’architecture. C’est une voix plurielle plutôt qu’un discours formaté et unique que nous promouvons. Il faut apporter des réponses à des besoins de manière constructive. La crise sanitaire a bloqué les gros chantiers, mais elle a également fait exploser les commandes privées d’extensions et de rénovations en banlieue. Les Franciliens se retrouvent à étudier et travailler à la maison à quatre avec des contraintes multiples alors que l’on manque d’espace. Les problématiques sont concrètes. Bien que ce ne soit pas le type de commandes le plus « glamour » et glorieux, c’est une demande forte qui se développe et un cadre d’exercice digne et engagé. Ouvrons la discussion sur ces types de pratiques tout comme on ferait bien d’écouter les médecins généralistes de terrain pour savoir comment traiter l’épidémie plutôt que les directives ministérielles.

    Jean-François Parent : On s’est rendu compte durant cette année de « crise sanitaire » à l’échelle planétaire, de l’importance de notre profession. En effet, la crise que nous vivons aujourd’hui est avant tout le produit d’une crise beaucoup plus profonde, plus ancienne, dénoncée depuis longtemps par les architectes : celle de l’aménagement du territoire, celle d’un modèle de développement urbain, celle de nos façons d’habiter (elles-mêmes produits d’une crise systémique)… Cette situation a montré la pertinence de nos analyses, de nos façons de comprendre l’évolution de nos sociétés, de nos capacités d’appréhender et d’anticiper certaines situations inconnues pour contribuer à la résolution collective des problèmes nouveaux qu’elles posent à tous. Malheureusement, nous ne sommes pas assez audibles, écoutés… Les batailles menés depuis de nombreuses années – pour le logement, en particulier un Habitat à Loyer Modéré, pour le développement d’outils publics de production du cadre bâti, pour résoudre la crise de l’habitat à l’échelle planétaire – n’ont pas été suffisamment portées, pour le moins au plan national. Cette situation nous a amenés à accepter une certaine banalisation de nombreux de phénomènes urbains : étalement urbain, marchandisation de la production, bidonvilisation… Mais cette crise montre aussi, par contraste, notre éloignement des lieux de débats, de décisions concernant les grands enjeux sociétaux auxquels nous sommes confrontés, et pour lesquels nos analyses et propositions sont centrales. Nous revenons ainsi à la première question concernant le rôle de l’Ordre. Il est fondamental d’être dans tous les lieux où les grandes questions organisant notre vie quotidienne sont débattues. En France, notre absence de discussions est regrettable. Il faut que les architectes soient au cœur des décisions politiques au-delà même de leurs domaines de compétences. L’Ordre doit être le stimulateur de ces combats, il doit pousser les architectes à s’y engager… Et cela commence, pour nous, par le vote pour ce second tour d’élection.

    Plateforme de vote en ligne – les identifiants et mots de passe ont été envoyé par mail aux architectes inscrit à l’Ordre (Objet : Election CROA 2021 – VOS CODES POUR VOTER AU 2nd TOUR) https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/

  • AU SECOND TOUR : VOTEZ DpA !

    2e tour des élections au CROAIF du 19 février au 8 mars.

    A l’issue du premier tour de chaque élection ordinale, certains déplorent le faible taux de participation des confrères. Cette année a connu un record en Ile-de-France notamment. L’abstention n’est pas un mal propre aux architectes. Le fait de ne pas être écoutés ni défendus ni représentés est largement partagé dans notre société.

    Alors que le second tour vient de s’ouvrir, nous recevons les marronniers habituels invitant les architectes à « se mobiliser », « à se saisir de l’institution », etc. Comment expliquer que l’institution n’invite les architectes à se mobiliser qu’au moment des élections ? Alors que la direction de l’Ordre n’a rien fait pour appeler la profession à se mobiliser avec les syndicats et autres organisations professionnelles pour défendre leurs situations plus que critiques (loi ELAN, amende de l’autorité de la concurrence…). Les architectes seraient – ils responsables de l’absence d’une mobilisation soudée et unie pour défendre les architectes et l’architecture ? A quoi servent les organisations professionnelles et l’Ordre en premier lieu sinon à appeler à cette indispensable mobilisation ?

    Notre association DpA a toujours milité pour rechercher la mobilisation unie de la profession comme seul moyen de résister aux attaques incessantes que subit la profession. C’est ce que l’Ordre s’est de longue date refusé à faire. C’est bien ce que nous voulons faire par notre présence dans ces élections.

    DpA invite les architectes à se mobiliser, pour le second tour des élections en votant pour les listes DpA, seules listes à s’engager pour pousser à une mobilisation de l’Ordre dont le rôle devrait être de défendre :

    • L’indépendance de l’architecte en exigeant la suppression des contrats globaux et autres conceptions-réalisation.
    • Pas d’architecture sans architectes = recours de l’architecte obligatoire pour toutes construction
    • Une rémunération juste seule garante de la qualité architecturale.

    INVITATION À DÉBATTRE

    DpA vous invite à débattre lors d’une visioconférence le vendredi 5 mars à 19h
    https://us02web.zoom.us/j/84618377371?pwd=QkJ1WG9aVFZ1OG9Sck5taU1KTERnQT09
    ID de réunion : 846 1837 7371 – Code secret : 509557

    Télécharger la version pdf.

  • Débat en réunion-visio avec les candidats DpA jeudi 11 février à 19h

    Jeudi 11 février à 19h via zoom :
    https://us02web.zoom.us/j/88393121589?pwd=Vm1nMjRCNEd4TUxTR1d5WUtaMFJNUT09
    ID de réunion : 883 9312 1589
    Code secret : 338760

    DpA en Ile-de-France vous remercie pour avoir placé les candidats de notre liste en bonne position. Il nous faut poursuivre nos efforts pour le second tour pour que les architectes dans leurs diversités soient représentés au sein du conseil de l’ordre en Ile-De-France.

    Quelques jours avant le fin du premier tour, les candidats de la liste DpA ont débattus par visioconférence avec une trentaine de confères connectés.

    La pluparts des sujets qui préoccupent notre profession ont été abordés tels que les honoraires, le rôle de l’ordre et des syndicats dans la défense de la profession, le seuil de recours à l’architecte, la cotisation, la place des femmes architectes ou la taille des agences d’architecture…

    La situation que vit notre profession est de plus en plus difficile, elle est sans cesse attaquée, « grignotée ». Cela s’est illustré dernièrement par l’amende de l’autorité de la concurrence. C’est à mettre en perspective avec la bataille perdue par l’Ordre des architectes allemands qui s’est battu au côté de l’Etat Fédéral pour conserver leur barème d’honoraire. Bien que perdue, on peut saluer l’Ordre des architectes allemand de s’être battu et on peut regretter qu’en France tout se passe à huit clos. Le monopole des architectes pour le permis de construire est également régulièrement menacé.

    Ces questions sont complexes et difficiles à résoudre facilement, la plupart des questions lors de la visioconférence portaient sur les marges de manœuvres de l’Ordre pour résorber cette crise. Personne n’a de solutions toutes prêtes, mais ce dont nous sommes certains c’est qu’il faudra se battre et la mobilisation de tous sera indispensable : ordre, syndicats et architectes.

    Un des candidats de la liste a déclaré : « On doit bosser pour que la situation change de manière radicale, c’est une nécessité collective » ; une autre « Il faut se battre et se serrer les coudes pour défendre le rôle, les compétences et la rémunération des architectes ».

    Vous pourrez lire l’ensemble de nos propositions mais ce qui nous différencie c’est notre volonté de maintenir le débat dans le cadre des élections et au-delà pour aider et renforcer à la mobilisation de l’ensemble des architectes.

    « Nous avons besoin d’un ordre clair qui prenne sa place dans la mobilisation de la profession avec les syndicats et l’ensemble des architectes »

    Pour cela au second tour, nous maintenons nos efforts et vous proposons de poursuivre le débat aux dates suivantes :

    • Vendredi 5 mars à 19h, nous vous communiquerons le lien en temps utile.

    Télécharger au format pdf.

  • Rencontre avec les candidats DpA au CROAIF

    Réunion visio le vendredi 29 janvier à 18 h 

    Via le lien de connexion ZOOM suivant :
    https://zoom.us/j/92664642446?pwd=OERHS3VYcERySGxTbElKRy81Qk5BQT09  

    ID de réunion : 926 6464 2446
    Code secret : 531536

    e début de campagne pour les élections ordinales pour le renouvellement de la moitié des conseillers régionaux en Ile de France (15+1) a souligné l’importance d’une mobilisation forte pour Défendre la profession d’Architecte.

    Les interrogations et préoccupations exprimées lors des échanges réalisés à partir des thèmes développés par DpA (voir notre profession de foi) ont fait émerger l’indispensable mobilisation solidaire de tous pour exiger de justes rémunérations et l’importance des politiques publiques de production du cadre bâti (logement équipement) sources d’innovation et d’expérimentations ; elles ont aussi mis en évidence la nécessaire diversité de pratiques de notre métier et donc l’importance de la conception et de la promotion d’outils techniques, technologiques mais aussi sociaux et politiques adaptés à ces pratiques.

    Ce qui invite donc à s’interroger collectivement sur l’institution professionnelle dont nous avons besoin : par conséquent sur les questions de démocratie et de mode électoral au sein de l’ordre ainsi que sur la manière d’étudier et de répondre aux problèmes de pratiques « hors limites » de certains.

    En d’autres termes :
    De quel ordre a-t-on besoin aujourd’hui ? Demain ? Pour quelles pratiques ?
    Comment l’ordre doit il défendre les architectes ?
    Comment travailler avec l’ensemble des organisations professionnelles ?

    Nous vous proposons donc, comme nous nous y étions engagés à débattre publiquement avec les candidats de la liste DpA durant cette campagne et à plus largement à moyen terme.

    Rejoignez-nous le vendredi 29 janvier à 18H00 pour en discuter.

    Certains d’entre vous, certaines organisations professionnelles, nous ont fait part de leurs interrogations, leurs préoccupations, leurs souhaits quant à l’avenir des architectes, de l’architecture et des activités de l’ordre…

    Vous trouverez ci-joint une série de réponses à ces questions que nous pourrons discuter lors de cette rencontre.

    Propositions DpA CROAIF 2021

    Accès à la commande 

    – Recours à l’architecte doit être obligatoire dès le 1er M² pour toute autorisation administrative.
    – Réduire ou supprimer le recours à des procé­dures de conception construction et de partena­riat public privé. Cela revalorise la loi MOP.
    – Réhabiliter la mission complète comme la norme.
    – Revaloriser la commande publique.
    – Suppression des contrats promoteurs : créa­tion de contrats paritaires en collaboration avec l’ordre des architectes.

    Expérimentation

    – Faciliter le recours au permis de Faire, Via l’intégration de cette procédure dans la procé­dure de PC et DP numérique.
    – Développer un panel d’outils adaptés  afin d’éviter les pathologies avec des solutions non standards (ce qui servira aussi l’amélioration des solutions standards).
    – Partager les expérimentations via le partage de CCTP de détail et composants. (tenter de fa­voriser cela avec kroqi).
    – Créer une bibliothèque de retour d’expérience sur le site de l’ordre et des conférences régu­lières à ce sujet autour d’un groupe de travail qui pourra établir des propositions et les présenter aux organes publics.
    – Analyser les dispositifs permettant l’expéri­mentation (permis de Faire, projet avec ATEX guidés…), faire un point sur les réalisations, et voir comment les faire évoluer, les adapter ou en proposer de nouveaux.
    – Utiliser la réhabilitation de l’existant qui néces­site des adaptations à chaque sujet pour déve­lopper des démarches de sur mesure perti­nentes et qui démontrent le caractère inhérent de l’expérimentation.

    Appels d’offres (public et privé)

    – Supprimer les critères discriminatoires (finan­ciers, matériels, labels..) dans les appels d’offre.
    – Supprimer notion de Chiffres d’affaires dans les appels d’offre.
    – Supprimer d’expériences liées à un référentiel. (en un mot déterminer les critères de sélection).
    – Supprimer l’obligation de références iden­tiques à l’objet de l’AO et la contrainte de temps de réalisation type « références de moins de 3 ou 5 ans. »
    – Proposer des ateliers organisés par l’ordre pour débattre du sujet et élaborer une proposi­tion de critère de sélection à modifier dans la loi MOP en la présentant au ministère de la Culture et des finances en charge des marchés publics.

    Rémunération

    – Défendre la mise en place d’un barème au ni­veau national,
    – Mettre en place un système de retraite com­plémentaire.

    Diversité des pratiques

    – Un droit de vote pour les architectes d’état.
    – Suppression de la mention.
    – Une cotisation plus juste et progressive, pro­portionnelle au revenu.
    – Suppression des clauses léonines des contrats sur le droit d’auteur.

    Confraternité

    Tolérance zéro pour les signatures de complai­sance :
    – Regarder les situations au cas par cas, notam­ment en regard de la responsabilité de la Maî­trise d’Ouvrage,
    – Créer une gradation dans les sanctions au re­gard de la situation,
    – Radier le cas échéant.

    Pour une simplification diplôme d’architecture, titre, tableau. Pour éviter la confusion actuelle avec différentes entrées

    Enseignement / Formation

    – Mise à disposition d’une plateforme gratuite de veilles techniques et juridiques à l’usage des ar­chitectes.
    – Proposition et discussion avec les écoles pour développer la formation continue en architec­ture. Ex: proposer tous les DSA en formation continue pour pouvoir les suivre tout en ayant une pratique professionnelle. Améliorer les contenus pour plus de professionnalisation.
    – Exclure du débat de la formation la labellisation des formations.
    – Préconise une formation obligatoire pour les maitrises d’ouvrage professionnel Public ou privé. Contrôle par l’ordre.

    Incubation d’idée/ Visibilité

    – Continuer et développer le rôle de l’ordre comme lieu de réflexion et de recherche
    – Inclure tous les acteurs de l’acte de bâtir (fabri­cants des filières de matériaux géo-sourcés et du réemploi, artisans, concepteurs, avocats, as­sociations d’auto promotion, fabricant de maté­riels éco responsables, maître d’ouvrage, élus, habitants, usagers…)

    Réponses dédiées à l’UNSFA

    Représentativité

    – Pour une modification du scrutin régional à la proportionnelle par listes.
    – Pour une modification du scrutin national à la proportionnelle par listes.
    – Pour une politique commune Ordre et Syndi­cat, notamment pour la représentation interna­tionale.  Pourquoi ne pas créer un organe dédié. Le financement est à étudier en fonction de la représentativité de cette structure.
    – L’efficacité du conseil régional est à mesurer d’un point de vue de l’action politique. Cepen­dant sur la question économique nous sommes pour la publication des comptes et la transpa­rence de toutes les instances de représentation.

    Enseignement / Formation

    – Pour une amélioration des conditions d’ensei­gnement des cultures constructives associé à l’expérimentation pratique.
    – Pour une amélioration des conditions d’exer­cice pour un meilleur encadrement des sta­giaires et employés au sein des agences.
    – Pour une harmonisation des conditions d’ac­cueil des architectes étrangers dans les ENSA.
    – La HMONP doit être intégrée au cursus et obli­gatoire.
    – Le rapprochement des écoles d’architecture avec les universités ne doit pas conduire à une uniformisation des enseignements. Des initia­tives de recherches appliquées tels que le CAP à Evry dans l’idée des Grands Ateliers de l’île d’Abau doivent être soutenus. Dans le cadre d’une politique volontariste d’expérimentation à l’initiative de l’ordre.

    Contractuel

    Régime de contractualisation de la responsabi­lité décennale pour les petites opérations en lieu et place du régime d’ordre public qui s’impose aux architectes ?

    À étudier. Mais nous alertons sur les consé­quences juridiques qui peuvent être défavo­rables aux Architectes car droit public plus favo­rable au privé. Sans un appui efficace de notre ordre difficilement envisageable pour 75 %

    D’où la nécessite d’un service juridique à l’ordre qui nous soutienne sur cela. Pour un meilleur contrôle du tableau.

    Clichez ici pour télécharger l’ensemble du communiqué d’invitation en pdf.

  • Profession de foi – Élections CROAIF

    « Défendre la profession d’Architecte, c’est garantir l’intérêt public de l’Architecture »

    Notre profession est malmenée, considérée comme « non essentielle », et la qualité de l’architecture est aussi menacée par la dégradation de nos conditions d’exercice. Démunis et sans recours face à de nombreux obstacles, les architectes ne peuvent résister isolés et ont besoin d’un Ordre qui s’occupe réellement de leurs préoccupations.

    TRADUIRE L’INTÉRÊT PUBLIC DE L’ARCHITECTURE DANS LES ACTES

    La création architecturale, la qualité des constructions autant que l’insertion paysagère sont le fondement de l’intérêt public de l’architecture et du recours obligatoire à l’architecte.
    Le rôle de l’Ordre est de le traduire en actes auprès des pouvoirs publics, de l’élu et du citoyen, donc de défendre notre profession, comme le font les autres professions réglementées, et d’agir pour remettre l’architecture et les architectes au coeur de l’acte de construire.
    Il doit mettre ses moyens au service de la cohésion et d’un véritable débat confraternel de tous dans le respect de chacun. Qui le fera si l’Ordre ne le fait pas ?

    PAS D’ARCHITECTURE SANS ARCHITECTE

    La qualité de l’architecture est un droit pour tous !
    Le recours à l’Architecte doit être obligatoire dès le 1er m² comme le précisait la loi sur l’architecture qui a été modifiée sur la pression des lobbies de la construction.
    En contrepartie, l’Ordre doit agir auprès des pouvoirs publics pour que le recours à l’Architecte suscite des mesures incitatives, d’accompagnement et d’encouragement pour le citoyen [type avantages fiscaux, primes, TVA réduite, etc.]. Il en va de même pour la rénovation énergétique qui nécessite plus que jamais sa présence.

    DÉFENDRE L’INDÉPENDANCE DE L’ARCHITECTE

    Pour garantir la qualité architecturale, il est primordial que l’architecte exerce ses compétences dans une indépendance totale, hors des pressions de toutes natures qui le réduit à une posture de sous-traitant, voire d’exécutant.
    A ce titre, les dispositifs PPP, les contrats conception-réalisation, les contrats globaux, etc. doivent être pour le moins réformés dans ce sens, sinon abandonnés.

    AFFIRMER ET RÉHABILITER LES COMPÉTENCES DE L’ARCHITECTE

    L’Ordre, soucieux de la qualité de l’Architecture, doit défendre la totalité de nos compétences pour qu’elles cessent d’être mises sous tutelle et dévalorisées à tous les niveaux.
    Notamment par l’exclusion de plus en plus fréquente de l’Architecte du suivi de chantier au profit de différents intervenants techniques doit cesser. La mission « complète » d’Architecte doit être réhabilitée.

    ACCÉS AUX MARCHÉS PUBLICS POUR TOUS LES ARCHITECTES

    – Restauration de la loi MOP pour tout marché public, y compris de logements sociaux, sans restriction d’accès aux concours par l’obligation de justifier de ces capacités financières et matérielles, au détriment des compétences ;
    – Application d’une rémunération correcte et systématique pour tout travail d’architecture, projet, étude ou concours d’architecture.

    STOP AU DUMPING ENTRE ARCHITECTES

    Le calcul de l’honoraire n’est pas uniforme et varie selon la mission. L’abaissement déraisonnable, et forcé, des honoraires pour bénéficier d’une affaire,
    traduit la grande difficulté dans laquelle se trouve confronté nombre de confrères à vivre décemment d’un métier pour lequel ils sont formés.
    L’Ordre doit défendre et imposer le principe d’un seuil minimum d’honoraire, qui soit expliqué, et en dessous duquel il sera démontré, s’il n’est pas respecté, que l’architecte travaille “à perte”.

    UN ORDRE AUX COTÉS DES ARCHITECTES

    L’Ordre ne doit pas être une institution « au-dessus » mais aux côtés de tous les architectes, notamment avec une cotisation plus juste, à plus forte raison dans la situation actuelle. Celle-ci doit redevenir progressive, avec des tranches de revenus expliquées pour ne pas priver les architectes en difficulté de leur droit à exercer leur métier.

    La liste DpA en Ile-de-France, s’engage à défendre ces sept points auprès du conseil national et des pouvoirs publics.
    Voter DpA, c’est voter pour vous.

  • Communiqué – ÉLECTIONS DES CROA

    « Défendre la profession d’Architecte, c’est garantir l’intérêt public de l’Architecture »

    Les listes DpA aux élections portant renouvellement des conseils régionaux de l’Ordre des Architectes sont déposées en Ile-de-France, en Occitanie et en PACA !

    Dans ces trois régions, vous aurez la possibilité d’élire des conseillers qui, comme vous, sont confrontés à des réalités professionnelles de plus en plus difficiles et incohérentes et ont décidé de résister pour établir collectivement des rapports renouvelés, car engagés : dans leurs pratiques professionnels et plus largement à la société.

    Vous lirez dans notre profession de foi (voir ci-dessous), notre volonté d’ouvrir, par et grâce à l’ordre, un indispensable débat professionnel culturel et social sur les conditions d’exercice des architectes et sur leurs missions sociales.

    Opposés radicalement à l’idée trop souvent énoncée et promue « que ce ne serait pas le rôle de l’Ordre de défendre les architectes », nous voulons une mobilisation massive et effective de l’ensemble des moyens issus de nos cotisations pour nous défendre et construire collectivement une stratégie permettant, en particulier, à la profession de se relever des attaques qu’elle a eu à subir ces dernières années : suppression du barème, suppression des concours, PPP, institution par la loi d’un seuil permettant de construire sans architecte en dessous de 150 m² de surface construite…

    Pour une mobilisation massive et effective des moyens issus des cotisations est indispensable pour donner toute sa place à la mission de l’architecte au service de l’intérêt public.

    Aujourd’hui, la majorité des diplômés ne sont pas inscrits à l’ordre, alors qu’ils participent de la production architecturale : dans nos agences, dans les collectivités locales, à l’université… Pourquoi ne pourraient-ils pas participer au débat sur notre profession ?
    Comment faire en sorte qu’ils trouvent au sein de l’ordre les moyens de s’exprimer de participer à l’indispensable réflexion sur le métier d’architecte pour le défendre et assurer son rayonnement aujourd’hui en France ?

    Il est donc nécessaire d’ouvrir largement l’Ordre aux architectes.

    C’est pourquoi, en Ile-de-France, nous avons décidé d’appeler les architectes non-inscrits, les étudiants, les salariés à participer à ce débat en s’engageant dans la campagne pour les élections à l’Ordre Régional.

    Vous êtes invités à débattre avec nous le 15 janvier prochain, vous recevrez prochainement le lien pour communiquer.

    >> Soutenez DpA <<

  • Appel aux Consœurs et Confrères d‘Île-de-France pour constituer une liste aux Élections Ordinales 2021

    CE DOIT ÊTRE LE RÔLE
    DE L’ORDRE DE DÉFENDRE
    TOUS LES ARCHITECTES
    ET L’ARCHITECTURE

    Chères Consœurs, chers Confrères,

    Nous, DpA, ne nous résignons pas et appelons la profession à résister !

    Alors que la création architecturale est reconnue par la Loi comme étant d’intérêt public :

    • les Architectes sont de plus en plus exclus du marché de la construction, concédant plus de 70% du marché du bâtiment à des constructeurs sans aucune compétence architecturale par le biais du seuil des 150m².
    • les conditions d’accès aux marchés publics privilégient les capacités financières et matérielles, au détriment des compétences architecturales, excluant de fait la grande majorité des architectes des marchés publics, sinon au prix d’un dumping suicidaire.
    • l’Ordre, notre organisation professionnelle, dotée pourtant de moyens conséquents – 15 M€ annuel, ne fait qu’accompagner le délitement de la profession dans une soumission sidérante comme lors de l’adoption de La loi ÉLAN ou de la condamnation par l’Autorité de la concurrence à lui verser 1,5 M€ pour la mise en œuvre de pratiques anticoncurrentielles

    Après avoir eu des candidats élus en 2013 et 2017, nous espérons cette fois-ci obtenir suffisamment d’élus pour peser réellement au sein du Conseil de l’Ordre pour, enfin, avoir une organisation professionnelle qui agisse pour l’intérêt public de l’Architecture et donc garante de la défense des Architectes qui en est le corolaire indispensable.

    En opposition radicale avec les élus actuels et passés qui instillent depuis des années « que ce ne serait pas le rôle de l’Ordre de défendre les architectes », nous voulons que l’ensemble des moyens issus de nos cotisations soient mobilisés réellement pour nous défendre et discuter d’une stratégie pour permettre à la profession de se relever des attaques qu’elle a eu à subir ces dernières années : suppression du barème, suppression des concours, PPP, institution par la loi d’un seuil permettant de construire sans architecte en dessous de 150 m² de surface construite ! Donc pour redonner toute sa place à la mission de l’architecte au compte de l’intérêt public !

    Si tu partages notre volonté de mettre l’Ordre au service de la défense de tous les architectes et de l’architecture, rejoins-nous pour ces élections. Envoie tes coordonnées et tes motivations avant le 10 décembre à : archi.dpa@gmail.com.

  • RESULTATS DE DpA AU 2eme TOUR DES ELECTIONS AUX CONSEILS REGIONAUX 2013

    Confirmation du succès national de DpA

    Brèves informations après les résultats du 2e tour .

    9 élus en Pays de la Loire avec l’élection complète de notre listeau 1er tour,

    5 élus en Haute Normandie avec 3 élus au 1er tour + 2 au second tour, c’est la liste complète qui est donc élue.

    4 élus en Languedoc-Roussillon,

    3 élus en PACA,

    4 élus en Rhône-Alpes avec 1 élu au 1er tour + 3 au second tour,

    2 élus en Bretagne

    5 élus en Auvergne avec 3 au 1er tour + 2 au second tour,

    4 élus en Nord Pas de Calais

    2 élus à La Réunion avec 1 au 1er tour + 1 au second tour,

    4 élus en IdF en 2010

    soit 42 élus cette année 2013

    En Ile de France, notre liste arrive en seconde position derrière Mouvement. A ce second tour 100 votants de moins et plus de votes blanc. DpA progresse de 235 voix. La liste « Mouvement » maintient son score. Malgré la multiplication des listes et candidatures et la dispersion des voix qui en découle, DpA est donc seule à progresser

    DpA confirme la place incontournable prise il y a 3 ans en IdF.

    Il faut et faudra donc compter sur nous, la preuve en est la confirmation du succès en régions.

  • 5 élus au CROAIF, pourquoi faire ?

    Paris le 21/10/10

    Edith GIRARD,  Sylvie BOULANGER,  Emilie BARTOLO , Olivier de CERTEAU,  Jacques HESTERS : 5 élus sur 12, pour quoi faire ?

    DpA ne peut que se féliciter du succès de sa liste aux élections à l’Ordre, qui annonce une nouvelle période pour le Croaif.
    Le Président de « Mouvement » s’est inquiété du risque que ferait courir à l’institution la présence d’élus de DpA. Qu’il se rassure, ces derniers n’ont pas l’intention de se cantonner  dans une agitation de «slogans à la petite semaine électorale», comme l’écrit une jeune consœur dans un mail à « Mouvement » et demande «qu’on puisse enfin voir des échanges de point de vue et peut-être enfin des arguments et des analyses rédigés en bonne et due forme». Ce travail, comme la participation aux commissions, le suivi des relations avec le Cnoa, tout ce qu’un architecte est en droit d’attendre d’un Ordre, les élus de DpA le conduiront dans le respect de la plate-forme qu’ils se sont engagés à défendre auprès de leurs électeurs. (suite…)

  • De qui vous moquez-vous…?

    bulletin de campagne élections ordinales – octobre 2010

    De qui vous moquez-vous ? C’est ainsi que « Mouvement »  interpelle DpA le 1er octobre dans un communiqué.
    Nous ne nous moquons certainement pas des architectes répondons nous, encore moins de cette consœur qui ce même 2 octobre nous écrit :
    « je soutiens votre liste à laquelle je m’identifie complètement.  ….  Vous êtes un groupe, une fois élus, n’oubliez pas les petits, et rendez-nous les 170 m2 pour que nous puissions travailler…. . Vous avez compris, ma voix vous est acquise, tant que je m’accroche encore à ce métier que nous adorons tous ; mais faut-il encore qu’il nous permette de vivre. J’ai oublié de vous dire que j’ai 53 ans, et cela fait presque deux années que je cherche du travail depuis mon retour d’un TOM».
    Ce même jour lors de la présentation des élus et des candidats de DpA dans la salle de la SFA, chacun a pu juger de leur motivation à « s’accrocher à ce métier que nous adorons tous » : (suite…)

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