
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustré par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Illustration par Emilie PELADAN
Les votes pour le second tour des élections ordinales 2017 se dérouleront entre le mercredi 27 septembre et le jeudi 12 octobre 2017 à 16H00.
Après le 1er tour…
Cette année comme en 2013, vous avez élu dès le 1er tour plusieurs candidats DpA :
Pour ce beau résultat nous vous remercions, d’autant plus que, dans toutes les régions dans lesquelles nous nous sommes présentés, vous avez permis à de nombreux candidats d’être en position éligible au 2ème tour.
Ces résultats sont encourageants et nous donnent la force de poursuivre nos efforts pour un second tour plus déterminant que jamais.
Comme en 2013, vous avez la possibilité d’élire, partout en France, des architectes dynamiques et engagés :
Il y a 4 ans vous avez élus 42 conseillers régionaux sur des listes DpA. Avec la cinquantaine de candidats DpA présentés cette année, vous avez la possibilité en votant pour eux, de renforcer considérablement le nombre d’élus dans 4 des plus grandes régions de France, pour faire entendre au sein de l’Ordre, une voix de résistance aux mesures qui accablent la profession.
Nous avons besoin de vos suffrages, nombreux, au 2ème tour.
Pour pouvoir agir, en AuRA, en IDF, en Occitanie, en PACA, et pour influer au niveau national, votez, faites voter, pour TOUS les candidats DpA !
Cette année dans quatre grandes régions, des confrères ont décidé de s’engager aux élections ordinales sur une même profession de foi :
« Résister ! Plus de conseillers pour défendre la profession ».
Déjà, la quarantaine d’élus en 2013 avec la profession de foi DpA ont permis de faire avancer nos idées. Même si cela ne s’est pas encore traduit par des résultats concrets, et alors que la situation de la profession continue de se dégrader.
Vous avez le pouvoir de porter plus d’élus ordinaux qui s’engagent pour défendre :
Retrouver la présentation de chaque candidats en cliquant sur la vignette de la liste de sa région.
– Télécharger la feuille en cliquant sur le bandeau ci-dessus –
Un mot suscite une vague de protestation et inonde les discussions entre confrères Architectes, elle submerge une part des préoccupations des Conseils Régionaux de l’Ordre des Architectes : Le DUMPING !
Mais quel est ce nouveau mal qui atteint la profession ?
Le dumping n’est ni plus ni moins que le résultat d’un phénomène plus profond : les Architectes ont de plus en plus de mal à décrocher des contrats, pour tous simplement pouvoir travailler et vivre de leur travail.
De la solidarité entre confrères il n’est plus question, c’est la compétition déclarée devant tous les appels d’offres, devant toute demande privée. Il s’agit de travailler, et, en accord avec la société actuelle, le critère du choix est le prix.
Il ne s’agit pas ici de discuter de la viabilité de ce critère prix. Il nous est imposé par une société dite de « consommation » où la mondialisation propose des produits à des prix qui posent d’ailleurs question sur les processus de fabrication… Modèle qui se reporte sur toute prestation, services, prestations intellectuelles…
Revenons à notre « dumping ». Phénomène qui consiste à proposer un prix inférieur aux concurrents, et oui, nous n’avons plus de confrères, nous avons des concurrents.
Jusqu’à quel point ce processus est-il tenable ? Faire tourner une structure a un coût, proposer des honoraires qui ne permettent pas de subvenir à ce coût mène inévitablement à l’échec.
Alors quelle solution autre que de taper sur les doigts des méchants confrères qui essayent de travailler ?
D’autres professions n’ont pas ce problème : elles ont un barème, qui établit une base viable pour vivre de leur activité.
Un barème plancher est indispensable à la prise de conscience d’une réalité économique et donc à la survie de notre profession. Nous ne pouvons plus nous permettre de baisser constamment des honoraires qui ne nous permettent plus de vivre de notre métier.
Nous fournissons un travail qui est souvent abstrait pour la Maîtrise d’Ouvrage.
Cependant, fournir un « dessin » à un client est un travail et il doit être reconnu comme tel. Eloigné dans l’inconscient collectif d’un produit manufacturé, concret, ce «simple dessin », qui peut paraitre anodin, est en effet le fruit d’une longue réflexion qui synthétise des savoirs et compétences. Il faut le dire.
Un barème donne une valeur à notre travail. Il est une reconnaissance de notre expertise.
Alors oui, on rétorque que c’est contraire à la règlementation Européenne qui défend la libre concurrence. Mais la concurrence sur quel critère ?
Lors des concours, nous voulons défendre le critère qualité architecturale, insertion dans le site, cohérence avec le programme… le critère prix étant alors un élément parmi les autres.
Pourquoi la « libre concurrence » se ferait-elle sur l’unique argument du coût des honoraires ?
D’autres pays Européens défendent le barème, plus ils seront nombreux, plus ils se feront entendre !
En OCCITANIE,
En AuRA,
En IdF,
En PACA,
Votez pour tous les candidats des listes DpA-RÉSISTER !
Jérôme DARNAULT
Candidat DpA en Occitanie
– Télécharger la feuille en cliquant sur le bandeau ci-dessus –
« Je m’adresse à tous les architectes qui ont encore un sens commun et confraternel de notre métier ainsi qu’une éthique déontologique. »
Chers confrères, chères consœurs, en me présentant aux élections du Conseil Régional d’Île de France sur la liste de DpA « Défense profession Architecte », je m’adresse à tous les architectes qui ont encore un sens commun et confraternel de notre métier ainsi qu’une éthique déontologique.
Le titre d’Architecte DPLG ou HMONP n’est pas un titre de pacotille ou d’opérette.
C’est un noble métier que nous n’avons pas choisi par hasard et que nous devons faire respecter si les différentes vagues successives d’élus à l’Ordre en ont été incapables.
Qui serions-nous si nous n’avions pas de convictions et de réflexion face au démantèlement de notre profession ?
Je me souviens avoir fait de passionnantes études d’architecture englobant de nombreuses disciplines aux dimensions artistiques, scientifiques, historiques, sociales et culturelles.
Je me souviens avoir engagé tout mon être et mon temps afin d’acquérir le «Diplôme d’Etat DPLG » dans une Ecole Publique.
Mais aujourd’hui, je me demande à quoi sert ce Diplôme d’Architecture si chèrement conquis et je me sens véritablement trahi.
Les formations sont devenues obligatoires pour les architectes et si nous ne nous formons pas, nous risquons la radiation ?
Mais quel est donc cette nouvelle injustice ? Car dans le même temps n’importe qui peut s’improviser « constructeur », sans aucun diplôme, aucun suivi et peut construire jusqu’à 150 m2.
Si nous devons nous former de manière si draconienne alors que nous avons déjà un diplôme d’Etat, que nous supportons des responsabilités et des charges énormes, nous demandons en retour l’abandon et la réécriture de la loi permettant à n’importe qui d’avoir le droit de construire sans architecte jusqu’à 150 m2.
Nous demandons la revalorisation de notre diplôme chèrement gagné et de notre métier pour que seuls les architectes diplômés et suivant des formations obligatoires puissent construire en France.
Nous avons, pour la plupart, été diplômés par des Universités Publiques d’Architectures dites « Unités Pédagogiques d’Architecture ».
Mais aujourd’hui force est de constater que le métier d’Architecte devient un métier élitiste que bientôt seuls les plus riches pourront exercer lorsque l’on fait les comptes.
Nous ne sommes pas contre les Formations et nous les souhaitons même…
En revanche, les tarifs prohibitifs des formations représentent un véritable obstacle et un traitement élitiste par l’argent. Nous ne pouvons l’accepter.
Je constate aussi que des sociétés privées qui fournissent les logiciels informatiques font de plus en plus la loi dans notre métier et pourront à terme nous empêcher de travailler si nous ne possédons pas la dernière mise à jour qu’on veut maintenant nous forcer à louer.
Quel chef d’entreprise, car l’architecte est aussi un chef d’entreprise, peut décemment accepter qu’on lui mette le couteau sous la gorge sans réagir ?
Quand allons-nous nous fédérer pour combattre et contrer cela afin de dicter nos propres conditions et changer ces règles du jeu unilatérales afin que que nous cessions d’être pris pour des vaches à lait ?
Notre métier est devenu un métier « d’intermittents du spectacle » mais sans les avantages. En ce qui concerne les cotisations sociales écrasantes qui nous sont sans cesse réclamées, nous devons nous fédérer pour faire poids face à la CIPAV et au RSI par exemple.
De même, nous réclamons un retour à des barèmes pour mettre fin à cette foire d’empoigne, à ce dumping anxiogène dans lequel les Maîtres d’Ouvrage ne se retrouvent plus car la déréglementation est source de désordre et d’incompréhension générale.
Je me souviens être allé à une réunion au Conseil Régional de l’Ordre des Architectes en Ile-de-France au Couvent des Récollets dont les débats étaient menés par des membres de « Mouvement ».
Lorsque j’ai évoqué le fait que j’avais des amis Architectes qui n’arrivaient pas à se faire payer et à vivre correctement de notre métier car il n’y avait plus de barèmes de références ; au lieu de saisir la détresse de ces confrères, il m’a été répondu sérieusement : « Change d’amis »…
Réponse ironique et nauséabonde.
On trouve des agences d’architecture de toutes tailles. Mais qui a le droit d’estimer si tel ou tel architecte pourra travailler et l’autre non ? Les petites agences sont aussi utiles que les grosses agences pour une société civile équilibrée.
Il faut stopper l’infantilisation des architectes et le démantèlement programmé de notre profession.
Notre métier connaît une véritable détresse et je cite une consœur architecte qui m’écrivait:
« Je trouve cela terriblement cruel que l’ordre années après années publie les chiffres de la profession où il est indiqué qu’au moins 1/3 de la profession est laissé pour compte (diagramme des rémunérations) sans même un commentaire à ce sujet, ni une action à envisager, comme si ce tiers de la profession soit 10000 personnes était des looser, des incapables et ne mériteraient pas la moindre réflexion particulière à leur égard pour essayer de faire s’inverser ces courbes ».
Pour toutes ces raisons non exhaustives, je me retrouve dans la liste de DpA, « Défense profession Architecte ». Donc si vous souhaitez être mieux défendus, votez DpA !
En AURA,
En IDF,
En OCCITANIE,
En PACA,
Votez pour tous les candidats des listes DpA-RÉSISTER !
Jean-Paul BARNAUD
Candidat DpA en Ile-de-France
Vous pouvez lire ci-dessous la présentation de chacun des candidats DpA pour le Conseil Régional de l’Ordre des Architectes d’Ile-de-France (#CRAOIF) :
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès le lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/
57 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1986
ENSA Paris Paris Belleville
Agence L2A.Associés (Président)
Colauréat du Plan d’Aménagement Urbain pour le quartier des deux lacs à Kourou en 1987, je fonde, en association, une agence en Guyane. Je participe à de nombreux concours d’urbanisme et d’architecture pour construire essentiellement des logements sociaux.
En 1990, je reprends mes activités à Paris, dans le cadre de l’extension d’une première école maternelle, puis d’une deuxième école en 2000 pour le compte de la Ville de Paris. J’enseigne l’infographie à temps partiel durant sept années à l’IUT d’Evry. Je poursuis mon parcours jusqu’à aujourd’hui sur de nombreux projets pour des bailleurs sociaux, des promoteurs, et des communes.
Premier acte
Je crois définitivement à la formation en alternance dans les écoles d’architecture, pour l’avoir à mon insu pratiquée avec un étudiant, de la deuxième année à la HMONP. Par ailleurs, j’ai pu constater le désastre de la HMONP qui consiste à diviser, en délivrant un vrai faux diplôme d’architecte : il s’agit bien de cela, puisque certains étudiants ne trouvent pas de formation en HMONP.
DpA souhaite être force de propositions pour conduire tous les étudiants vers une seule et unique formation complète, qui pourrait s’organiser par exemple en alternance entre les écoles et les agences, afin de valider un seul et unique diplôme : un diplôme d’architecte !
Deuxième acte
Autre problème majeur qui se présente en évidence : celui du logement !
Oui, le logement est le problème numéro un en France et nous devons, nous, architectes, retrouver une voix qui porte dans le débat public et dans l’acte de construire en exigeant enfin un arsenal législatif qui donne droit à l’architecture ! Nous devons valoriser notre savoir-faire et notre droit pour intervenir bien au-delà des 28 % d’actes, dans l’Art de Construire ! »
Troisième acte
Architectes, votez massivement pour les listes DpA et dépassons enfin les 20% de participation ! »
54 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 2003
ENSA Paris Belleville (diplômé en 2000)
Agence « Architecturécologique Moderne » (depuis 2006)
J’ai exercé comme salarié puis en libéral pour la maitrise
d’ouvrage privée. J’ai fondé la société AEM, (Architecture
Ecologique Moderne) dont je suis le gérant. Je m’intéresse à tout ce qui concerne l’écologie, particulièrement dans l’industrie. Je pratique également le dessin de presse, d’humour et la création de publicités, de PLV, de mobiliers.
Notre métier connaît une véritable détresse et je cite une consœur architecte qui m’écrivait :
« Je trouve cela terriblement cruel que l’ordre années après années publie les chiffres de la profession où il est indiqué qu’au moins 1/3 de la profession est laissé pour compte (diagramme des rémunérations) sans même un commentaire à ce sujet, ni une action à envisager, comme si ce tiers de la profession soit 10000 personnes était des looser, des incapables et ne mériteraient pas la moindre réflexion particulière à leur égard pour essayer de faire s’inverser ces courbes ».
Donc… Votez DpA !
36 ans
Architecte DPLG depuis 2007
ENSA Paris Val-de-Seine
Exerçant à la Ville de Malakoff
Après un court passage en tant que salariée dans une agence d’architecture, j’ai vite décidé de me tourner vers le Service Public au sein duquel je voulais œuvrer plus largement pour l’intérêt public de l’architecture.
Les lignes ne bougent pas assez vite dans un contexte de plus en plus
difficile pour notre profession. Il y a urgence !
Les architectes sont isolés, peu fédérés. Mon mandat précédent a été mené avec l’idée fixe qu’à plusieurs on est plus fort et qu’il n’y a pas besoin de créer des grosses sociétés pour cela. Il devrait y avoir une place pour tout le monde, et pour cela il faut balayer la pensée unique qui gangrène l’ordre des architectes. Nous sommes capables de nous organiser, encore faut-il que l’enjeu en vaille la peine. À DpA nous y travaillons depuis près de 10 ans.
Je m’engage, si vous m’accordez de nouveau votre confiance, à :
66 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1981
Architecte du Patrimoine depuis 1983
Architecte et urbaniste de l’Etat
ENSA Paris Belleville
Enseignante à l’ENSA Normandie depuis 2011
J’exerce les fonctions d’ABF dans les départements de l’Yonne, puis de la Manche, puis de l’Oise. Je deviens chef de service d’Architecture et du Patrimoine de Meurthe et Moselle avant que de rejoindre la Normandie. Je suis également présidente de la section française d’une ONG internationale créée en 1991 : DoCoMoMo.
Lisez « la désobéissance de l’architecte » conversation entre le journaliste italien Renzo CASSIGOLI et l’architecte Renzo PIANO et vous comprendrez tout ! »
48 ans
Architecte DESA depuis 1997
École Spéciale d’Architecture (ESA)
Juriste en 1991
Agence Les Architectes CVZ . IAD
Salariée dans différentes agences et exercice libéral depuis 2007. (Création de l’agence Cottrell Macary Architectes).
Fusion avec l’agence CVZ en 2014.
Divers établissements recevant du public ; logements sociaux ; réhabilitations ; parkings.
48 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1997
ENSA Paris Paris Belleville
Agence GOUDENEGE Architectes et Associés
Enseignant en architecture depuis 1997 à l’ENSA Paris-Belleville puis à l’ENSA Normandie.
Exercice libéral au Havre de 1997 à 2000.
Exercice salarié à Rouen de 2000 à 2007.
Exercice associé à Rouen de 2007 à 2014.
Exercice salarié à Paris depuis 2014.
contre le vedettariat, les prix, les récompenses ;
contre la disparition de la maîtrise d’ouvrage publique et…
contre la commande privée mercantile qui s’y substitue ;
contre un diplôme en deux temps (pour ceux qui parviennent au second) ;
contre la ville-tourisme et l’uniformisation qui l’accompagne ou la précède ;
contre le temps qui ronge et qui oblige ;
contre les disciples parce que l’architecture n’est pas affaire seulement d’architectes.
33 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 2007
Architecture et risques majeurs en 2011
ENSA Paris Val-de-Seine et Paris Belleville
Agence EMA architectes
Enseignant à l’EAV&T, ENSAPB et ENSAL
Gérant de la société d’architecture EMA architectes cofondée à la sortie de mes études, j’ai longtemps été parallèlement salarié en bureau d’étude environnemental. La volonté de transcender et de transmettre l’expérience que j’avais acquise dans ce domaine m’a peu à peu conduit vers l’enseignement et la recherche. Je suis aujourd’hui chargé de cours dans plusieurs écoles, notamment au DPEA architecture Post-carbone à l’école d’architecture de la ville et des territoires à Marne-la-Vallée ou au DSA architecture et patrimoine à l’école d’architecture de Paris Belleville.
Souhaitant accompagner les architectes face à ces enjeux environnementaux et aux potentiels canaux de leur prise en compte j’ai participé à la rédaction du livre (manuel) « BIM et architecture » édité chez DUNOD en 2016.
Le programme de DpA est la seule association nationale qui pointe, dans le cadre légal national et européen, les raisons de la dégradation de notre pratique professionnelle : c’est pour cela que j’y adhère ! »
C’est pour cela que je me porte candidat !
33 ans
Architecte HMONP exerçant depuis 2013
DEA : ENSA Paris Val-de-Seine HMONP : INSAS
Agence SDJ Architectes (libéral)
J’ai pu forger mon expérience professionnelle dans trois grosses structures parisiennes avant de m’installer à mon compte.
Longtemps, j’ai pensé agir à mon niveau, mais seul, cela demeure difficile. C’est pour cela qu’en septembre 2016 j’ai rejoint DpA, car leurs revendications se trouvaient être aussi les miennes :
Je pense que DpA est vitale pour notre profession. Grâce à ce collectif d’architectes, les problèmes de notre métier sont pointés du doigt mais surtout DpA y propose des solutions.
Dès que je me suis installé, je me suis rapidement rendu compte que le grand public (qui incarne nos futurs clients privés ou publics) ne savait pas à quoi nous « Architectes » servions. Je pense qu’il est primordial améliorer la communication sur notre métier, et l’ordre des architectes devrait en être le premier communicant.
Qui n’a jamais entendu la phrase :
« tu es architecte d’intérieur ou d’extérieur ? »
Je suis au début de ma carrière d’architecte, il est temps d’agir ! C’est pour cela que je vous propose ma candidature pour protéger notre métier et lui donner un véritable avenir :
en faisant entendre les propositions de DpA
au sein de l’ordre des architectes. »
VOTEZ DPA !
56 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1990
ENSA Versailles
Agence AAVJ
Salariée durant 10 ans.
Architecte en société depuis 2000, dont architecte associée de l’agence Guillier Jandelle de 2000 à 2015
Travaillant sur des équipements publics, en neufs et réhabilitations et en rénovations énergétiques.
La manière d’exercer est une liberté à revendiquer : petites, moyennes ou grosses agences, chacun doit y trouver sa place. Aujourd’hui, perdurer est une bataille quotidienne pour beaucoup de petites agences tant les critères de sélection dans les candidatures ne sont pas adaptés et la quantité d’offres insuffisantes…
L’accélération programmée du marché de la rénovation énergétique, privé ou public, nécessite une grande vigilance pour qu’il n’échappe pas aux architectes.
Le BIM est une évolution logique du travail des architectes mais demeure un investissement compliqué pour les petites agences. Mais en finalité, il n’a de raison d’être que si les maîtres d’ouvrage l’exploitent.
Je propose ma candidature pour agir et faire progresser les propositions portées par DpA au sein de l’ordre des architectes : le barème plancher, l’indépendance des architectes, le concours obligatoire…
Pour cela DpA doit avoir le plus de représentants possibles afin de permettre
des débats constructifs pour la défense de notre profession. »
66 ans
Architecte Ingénieur DEPV exerçant depuis 1974
Architecte du Patrimoine exerçant depuis 1989
Diplômée de l’Ecole Polytechnique de Varsovie
Atelier d’architecture et d’urbanisme Alicja MICHALEK
Salariée de bureaux d’études et d’instituts scientifiques en Pologne puis en France dans les années 1980 au sein de différentes agences parisiennes. Travail en libéral depuis les années 1990 principalement dans la construction neuve et la réhabilitation de logements collectifs.
Les démolitions récurrentes survenant ces dernières années du fait des politiques urbaines menées par les gouvernements successifs vont à l’encontre de cette logique d’enrichissement de l’architecture.
Il est primordial que les architectes reprennent la main haute sur les orientations qui impactent directement notre profession.
L’association DpA est la mieux placée pour défendre les intérêts des architectes français du fait de son engagement permanent auprès des divers professionnels de la construction pour protéger notre travail. »
62 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1989
ENSA Versailles
Agence Archishowme
Architecte collaborateur libéral au sein d’une agence de 1990 à 2013 (concours de collèges et architecture en montagne), puis fondatrice et gérante d’Archishowme depuis juillet 2013.
Que pouvons-nous espérer :
Tous ces indices démontrent clairement que l’architecte n’est plus au centre du projet, mais que seule compte une normalisation dans laquelle le diplômé d’une « grande » école de commerce fera la loi au détriment de la qualité de l’architecture. »
Alors, oui. Bougeons avec DpA. Il est encore temps !
69 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1977
ENS des Beaux-Arts – UP4
Agence Jean MICHELIN (libéral)
Rénovation d’ensembles immobiliers.
Réalisations et réhabilitations d’églises.
Réalisations et extension de pavillons.
Architecte Conseil de l’association Raoul FOLLEREAU (missions en Afrique, Liban et France).
Réalisation de bureaux.
La généralisation du numérique a complètement changé la manière de travailler des architectes, mais l’Etat Français n’a pas du tout favorisé notre profession pour lui permettre une bonne adaptation.
Au contraire ! Les architectes sont compressés par trop de règlementations diverses et ils ne peuvent pas exercer leur métier normalement.
Parmi tous les nombreux intervenants agissant dans le domaine du bâtiment, les architectes ne sont pas considérés comme ils devraient en tant que maître d’œuvre.
Je soutiens le manifeste de l’association d’architectes DpA qui répond vraiment aux demandes des architectes ! »
69 ans
Architecte DPLG depuis 1975
ENSA Versailles (UP3)
Ancien vice-président d’une ville nouvelle : chargé des affaires scolaires et universitaires en 1983 puis chargé des travaux en 1995
Salarié de bureaux d’études, libéral individuel pour maîtrise d’ouvrage particulière ou société, libéral pour agences d’architecture, salarié contractuel pour une collectivité locale, il a exploré les
principales facettes du métier.
Il est engagé dans la vie associative et politique depuis 1968 pour promouvoir le métier d’architecte dans les milieux décisionnels.
« quiconque désire entreprendre des travaux soumis à une autorisation de construire doit faire appel à un architecte pour établir le projet architectural faisant l’objet de la demande de permis de construire, sans préjudice du recours à d’autres personnes participant soit individuellement, soit en équipe, à la conception ».
Enfin une vérité était inscrite dans le marbre ! Et dire que l’architecture était une expression de la culture, et ne pas donner les moyens à la profession de la mettre en œuvre, aurait été un non-sens. Bien évidemment !
Et pourtant…
Doit-on être considéré comme « has been » pour constater que, 40 ans plus tard, cette loi a bien été malmenée, amendée, modifiée, pour que l’architecte se trouve dépouillé de ses prérogatives ? Et que l’architecture ne soit l’expression de la culture qu’au-dessus d’un certain seuil, qui n’est même plus celui de 170 m² de SHON puisque la surface hors-œuvre nette n’existe même plus, elle aussi ? Pourquoi faire simple quant on peut faire compliqué ?
Qu’est-ce que c’est que cet État qui n’est pas capable de faire vivre une loi sans qu’un décret ou une circulaire n’en modifie la portée sous couvert d’en préciser l’application ?
J’ai fait un rêve. Oui, celui qui amène l’État à réaliser que, sans l’architecte, il n’est pas possible de changer la vie. Oui, celui qui amène l’Etat à prendre conscience de tous ces « cookies » qui bride l’architecte dans l’exercice de son métier soi-disant réglementé. Oui, celui qui amène l’État à réhabiliter la loi sur l’architecture en en supprimant les décrets discriminatoires ! »
Mais, pour passer du rêve à la réalité, votons de nouveau DpA.
65 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1978
École Spéciale d’Architecture
DESS à PARIS 1 Sorbonne en 1985
ENS des Ponts et Chaussées en 1985
Agence d’urbanisme et d’architecture BECARD et PALAY
Création de l’agence d’urbanisme et d’architecture BECARD et PALAY en 1998.
Activité essentiellement orientée vers la commande publique : maitrise d’œuvre sur rénovation urbaine, constructions neuves, réhabilitation de logements sociaux, résidentialisation, espaces publics, locaux d’activités et de bureaux.
J’ai adhéré à la liste DpA en 2013 car sa profession de foi exprime, de façon la plus large possible, les inquiétudes et les revendications de l’ensemble de la profession. L’intérêt des architectes vis-à-vis de leurs conditions d’exercice a rencontré un réel écho à travers les pétitions (seuil et barèmes) organisées par cette association. Défendre notre profession, c’est lutter contre les attaques des différentes réformes qui ouvrent nos modes d’exercice à la libre concurrence, qui, de par la complexité des règlementations, et de par les nouvelles procédures de marché, entraînent une dégradation de nos missions et une soumission de plus en plus forte aux critères financiers. Défendre notre profession, c’est défendre la qualité architecturale comme composante essentielle de notre cadre de vie.
Défendre le cadre règlementaire, juridique et financier de nos missions, c’est aussi garantir que cette qualité ne soit pas réduite face à d’autres intérêts économiques de la production de l’architecture.
Une représentation démocratique de la profession doit être mise en place au sein de l’Ordre afin de faire valoir notre volonté de résister. Actuellement, l’association DpA est la seule à vouloir regrouper nationalement les architectes autour des vrais enjeux de la profession. »
VOTEZ DpA !
55 ans
Architecte DPLG exerçant depuis 1996
ENSA Paris Belleville
Agence P / LIHP
Après avoir été salarié plusieurs années dans des agences à Nantes et Paris, j’ai créé et dirigé de 2000 à 2015, l’agence Jean-François PARENT et associés à Saint-Denis.
En 2016, avec quelques partenaires professionnels et économiques habituels, nous avons fondé une nouvelle structure : l’AGENCE P pour répondre aux caractéristiques de l’évolution de la question urbaine et aux conditions politiques, économiques et techniques qui s’imposent à tous les acteurs de la « chaine » de conception / construction de l’habitat ainsi qu’aux besoins et attentes sociales urgentes…
C’est dans cette même perspective générale, qu’en 2008, à Medellín (Colombie), avec des élus locaux, des universitaires, des architectes, des urbanistes, et des représentants populaires, français et étrangers, j’ai participé à la fondation du Laboratoire International pour l’Habitat Populaire que je préside aujourd’hui…
S’il veut être fidèle à sa mission historique de travailler à la satisfaction des besoins de tous, l’architecte doit avoir conscience que les problèmes qu’il rencontre « aujourd’hui » sont, de fait, l’expression de problèmes politiques : « des problèmes posés à la société par la société » (C. Schnaidt), qui inscrivent son action dans des contextes rarement favorables. Cela impose d’être lucide sur les conditions et les représentations qui pèsent sur la production actuelle, sur le système d’avantage que sur les effets produits.
L’engagement collectif des professionnels et leurs réflexions communes sont nécessaires mais ne sauraient suffire : c’est dire l’importance et le rôle des structures (CNOAF / CROAIF en particulier et en premier lieu…) susceptibles de les soutenir individuellement et de susciter l’organisation des moyens créatifs pour faire face collectivement à des rapports de forces peu favorables.C’est dire l’importance cette année des élections
ordinales, en particulier en Ile-de-France où le conseil sera renouvelé pour moitié.
Les 15 membres non renouvelables sont tous issus d’une même liste qui dirige le Conseil depuis plusieurs mandatures. DpA doit donc y être fortement représentée pour que les conditions indispensables d’un véritable débat constructif au sein de l’ordre des architectes soient remplies.
C’est pourquoi, ayant l’ambition (sur la base de notre profession de foi) de mettre en débat des questions qui, selon moi, sont insuffisamment posées aujourd’hui, et de mener des actions permettant aux architectes, aux étudiants, aux enseignants et à toutes les familles d’acteurs impliqués dans la production du cadre bâti de
rechercher et construire les moyens de travailler à nouveau sereinement au bénéfice de tous. »
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès le lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/
A votre disposition, la présentation vidéo de chacun des candidats DpA pour le Conseil Régional de l’Ordre des Architectes d’Auvergne-Rhône-Alpes (#CROAAuRA) :
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès aujourd’hui lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès aujourd’hui lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/
Voici la présentation des candidats DpA pour le Conseil Régional de l’Ordre des Architectes de Provence-Alpes-Côtes-Azur (#CROAPaca) :
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès aujourd’hui lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/
Voter pour votre liste DpA PACA !
– dès aujourd’hui lundi 28 Août –
https://vote.election-europe.com/Elections-architectes/